Ce qu’a vu le Cers et A la recherche du rythme perdu,
deux collaborations avec le compositeur Luc Ferrari
M.Henry Fourès
Études d’histoire de l’art à l’université Paul Valéry de Montpellier.
Études musicales au CNSM de Paris (Prix d’écriture, analyse et composition) puis à
l’université de Berlin (musicologie médiévale) et à l’Académie de Vienne (piano)
Stagiaire au groupe de recherche Musicale (GRM INA – 1975-1977)
Professeur responsable des musiques improvisées au conservatoire de Pantin de 1977 à 1980,
il enseigne ensuite la musicologie médiévale de 1980 à 1982 à l’université de Toulouse le
Mirail.
De 1982 à 1990 il est nommé Inspecteur général de la musique à la Direction de la Musique et
de la Danse du Ministère français de la Culture.
Il quitte cette fonction en 1990 pour se consacrer pleinement à ses activités de compositeur et
d’interprète.
Ses activités touchent de nombreux domaines. Il a réalisé des films pour la télévision,
composé des musiques pour l’image, la danse et la scène.
Il est aussi l’auteur de nombreuses créations radiophoniques (France Culture) et le réalisateur
de Hörspiel pour la HR et WDR.
Il a écrit des oeuvres symphoniques, de musique de chambre, des pièces électroniques, mixtes,
des oeuvres vocales, mais a aussi conçu et réalisé des installations interactives et
d’importantes manifestations évènementielles.
Depuis le 1er septembre 2000, Henry Fourès est directeur du Conservatoire National Supérieur
musique et danse de Lyon.
Durée :
Journée d’étude internationale : Jazz, musiques improvisées et écritures contemporaines : convergences et antinomies
L’Université Marc Bloch : Equipe de recherches EA 3402 (« Approches contemporaines de la réflexion et de la création artistiques »),Le Festival Jazzdor et Le Conservatoire National de Région de Strasbourg présentent :
« Jazz, musiques improvisées et écritures contemporaines : convergences et antinomies »
Assistant scientifique en musicologie systématique à la « Johann Wolfgang Goethe-
Universität » de Frankfurt am Main.
Le docteur des. Kai Stefan Lothwesen, né en 1972, a étudié la musicologie, la pédagogie
musicale et la sociologie à l'université de Gießen, et a fait sa thèse de doctorat à l'université de
Hambourg sur les connexions entre la musique contemporaine et le free jazz en Europe. Il fut
rédacteur indépendant à la radio de Francfort. Depuis la fin de ses études il a enseigné dans le
cadre des universités de Gießen, Siegen et Hambourg. Il a publié des articles et ouvrages sur
la culture musicale des adolescents, sur la perception de talent-shows à la télévision
(„Nouvelle Star“), sur la musique conptemporaine et sur le jazz, ainsi que sur la musique
improvisée en Europe. Ses centres d’intérêt en matière de recherche sont la sociologie et la
psychologie de la musique, la culture de la musique actuelle. Ses projets de recherche récents
concernent la tradition et la culture musicale de la ville de Francfort, le développement et
l'encouragement de la créativité musicale.
musicologue, guitariste, compositeur, il enseigne l’analyse du jazz au
Conservatoire “S. Cecilia" de Rome et la musicologie afro-américaine dans le cadre des
universités de Macerata et Firenze. Il est président de l’Institut Musicologique Italien et
directeur scientifique pour LIM Edizioni de la collection «Grooves. Collana di Studi Musicali
Afro-Americani e Popular». Directeur de la revue musicologique «Ring Shout-Rivista di
Studi Musicali Afro-Americani», éditée par la Società Italiana di Musicologia Afro-
Americana (SIdMA), dont il est co-fondateur, il fait partie du scientific board de la revue
«Per Archi». Il a écrit, entre autres, les ouvrages: La definizione dello swing. I fondamenti
estetici del jazz e delle musiche audiotattili [2000}; I processi improvvisativi nella musica. Un
approccio globale [2005], Esperienze di analisi del jazz [2007].
Comme musicien (guitariste), il a débuté dans le mouvement du rock progressif italien dans
les années 1970, avec le groupe « Pierrot Lunaire ». Ensuite, après des études de guitare
classique et de jazz, d’improvisation avec Joe Pass et Enrico Pieranunzi, il a collaboré avec
d’importants musiciens de jazz comme Tony Scott dans les années 1990 par exemple.
Études d’histoire de l’art à l’université Paul Valéry de Montpellier.
Études musicales au CNSM de Paris (Prix d’écriture, analyse et composition) puis à
l’université de Berlin (musicologie médiévale) et à l’Académie de Vienne (piano)
Stagiaire au groupe de recherche Musicale (GRM INA – 1975-1977)
Professeur responsable des musiques improvisées au conservatoire de Pantin de 1977 à 1980,
il enseigne ensuite la musicologie médiévale de 1980 à 1982 à l’université de Toulouse le
Mirail.
De 1982 à 1990 il est nommé Inspecteur général de la musique à la Direction de la Musique et
de la Danse du Ministère français de la Culture.
Il quitte cette fonction en 1990 pour se consacrer pleinement à ses activités de compositeur et
d’interprète.
Ses activités touchent de nombreux domaines. Il a réalisé des films pour la télévision,
composé des musiques pour l’image, la danse et la scène.
Il est aussi l’auteur de nombreuses créations radiophoniques (France Culture) et le réalisateur
de Hörspiel pour la HR et WDR.
Il a écrit des oeuvres symphoniques, de musique de chambre, des pièces électroniques, mixtes,
des oeuvres vocales, mais a aussi conçu et réalisé des installations interactives et
d’importantes manifestations évènementielles.
Depuis le 1er septembre 2000, Henry Fourès est directeur du Conservatoire National Supérieur
musique et danse de Lyon.
Compositeur et pianiste français (né à Paris en 1952), aborde la musique par
l’étude du piano classique pour lequel il témoigne de dons précoces. Sa formation de
compositeur se fait essentiellement en autodidacte, à travers un parcours aussi passionnant
que peu orthodoxe.
D’abord connu d’un large public comme un interprète et un improvisateur de haut niveau (son
livre L’Improvisation musicale, publié en 1980, est devenu une référence sur le sujet), il s’est
lançé dans l’aventure du spectacle vivant, signant la musique de plus de 40 créations en
collaboration avec de nombreux chorégraphes (Dominique Bagouet, Brigitte Lefèvre,
Bouvier/Obadia, Dominique Petit, Caroline Marcadé) et metteurs en scène de théâtre
(notamment Alain Françon), tout en s’initiant aux traitements numériques à l’INA-GRM, se
passionnant pour la création radiophonique et participant à de nombreuses réformes impulsées
par Maurice Fleuret. Certains de ses spectacles ont eu un rayonnement important, comme son
premier spectacle Piano Check-Up, sa première production lyrique, Deux Pièces à Louer,
avec Michel Hermon (1983), ou encore Les Passagers du Delta, avec les musiciens de jazz
américains Barre Phillips et Barry Altschul (1986), et Piano Circus (1993) avec le magicien
Abdul Alafrez.
Depuis 1973 il développe un catalogue varié, marqué par la recherche d’une expression
dramatique ouverte à la synthèse des langages. Il a abordé tous les genres : opéra (O.P.A Mia,
créé au Festival d’Avignon en 1990 dans une mise en scène d’André Engel et des décors
d’Enki Bilal), ballet (La Petite danseuse , commande de l’Opéra de Paris 2003, repris en
2005), théâtre musical (le mélodrame Un Petit rien-du-tout créé en 2006 au Théâtre du Rond
Point), orchestre, concertos, choeurs, formations de chambres, instruments solistes
(notamment pour son instrument, le piano, Onze Mouvements, Etudes africaines),
électronique (Piano Transit, Elektrospacepiano, Drama Symphony).
Il fut pensionnaire de la Villa Medicis en 1983 et a obtenu le Prix Italia (prix international ) en
1988.
Après avoir longtemps évolué en soliste dans le répertoire contemporain, le clarinettiste Jean-
Marc Foltz est de plus en plus présent depuis ces dernières années sur la scène du jazz.
L’année 2000 marque un tournant dans sa carrière : il rencontre alors le pianiste Stéphan
Oliva et le contrebassiste Bruno Chevillon, avec lesquels il forme un trio ainsi que deux
duos… Il participe au Stephan Oliva Quintet avec lequel il enregistre pour le label Sketch
« Itinéraire Imaginaire » (2004) -
Le trio Foltz/Oliva/Chevillon enregistre à l’initiative de Jean-Marc Foltz un hommage au
compositeur italien Giacinto Scelsi intitulé « Soffio di Scelsi » (label La Buissonne).
Devenu un « pilier » du Bernard Struber Jazztet, il enregistre avec ce dernier « Les Arômes de
la Mémoire » (2002) et « Parfum de Récidive » (2006), ainsi que « Les Noces de Dada »,
hommage à Frank Zappa. En 2005, il constitue le Trio de Clarinettes avec Armand Angster et
Sylvain Kassap.
Titulaire du C.A. de professeur de clarinette, il enseigne à Strasbourg au Conservatoire
national de Région
http://www.stephanoliva.com
Stéphan Oliva, pianiste, se fait remarquer dès le début des années 90 par son travail en trio
autour de ses compositions. Avec Claude Tchamitchian (cb) et Jean-Pierre Jullian (bat), il
enregistre «Novembre» sur OWL Records et obtient le Django d’or «Espoir de l'année 92 ».
Il participe (en 1997) à la collection «Jazz’n (e) motion» qui réunit des improvisations en
piano solo sur des musiques de films. En parallèle, il propose des conférences illustrées au
piano sur Bernard Herrmann, compositeur de musique de film (Hitchcock, Welles,
Scorsese…).
En duo avec le pianiste François Raulin, ils explorent la musique du grand pianiste américain
Lennie Tristano. Elargi à sept voix, cela aboutira à la création puis au disque «Sept
Variations sur Lennie Tristano», avec le duo de pianos et Laurent Dehors (clar), Christophe
Monniot (s), Marc Ducret (g),Paul Rodgers et Bruno Chevillon (cb).
Depuis 1997, il se produit avec le batteur américain Paul Motian et Bruno Chevillon. Un trio
qui célèbre les compositions de Paul Motian. Deux disques seront enregistrés: «Fantasm» et
«Intérieur nuit».
Depuis 2003, il se produit aussi en trio avec la chanteuse Linda Sharrock et Claude
Tchamitchian (cb) et en duo avec la chanteuse Susanne Abbueh.
En 2004, il participe avec Jean-Marc Foltz (cl) et Bruno Chevillon (cb) au projet «Soffio di
Scelsi».
Au cinéma, il est l’auteur et l’interprète de la musique du film de Jacques Maillot, «Froid
comme l’été» (Prix Italia). Il compose et improvise en direct à l’écran sur les films muets
«Loulou» de Georges W. Pabst et « Crainquebille » de Jacques Feyder. Stéphan Oliva
enseigne au CNR de Strasbourg.
Née en 1980, elle achève en 2004 une maîtrise d’éducation musicale (MA) à l’Université de
Musique et d’Art dramatique de Graz et une maîtrise de philologie espagnole à la Karl-
Franzens-Université de Graz (Mémoire de maîtrise : « Somnis irracionals – Une composition
aux peintures de Salvador Dalí »). En 2006, elle obtient une licence (BA) d’études
instrumentales en piano. Depuis 2003 elle est professeur de piano et travaille dans
l’enseignement secondaire (musique et langue espagnole). Depuis 2004 elle prépare un
doctorat ès lettres (PhD) à l’Institut de la Recherche sur le Jazz de l’Université de Musique
et d’Art dramatique de Graz (thèse de doctorat : « La musique de piano de Gonzalo
Rubalcaba au miroir de la musique cubaine et du Jazz »). Ses travaux de recherche
actuels visent spécialement la transcription et l’analyse musicale.
Diplômé de l’Université Paris IV-Sorbonne (Doctorat de musicologie, Habilitation à diriger
des recherches), il enseigne à l’Université Marc Bloch depuis 1998 et publie régulièrement
des articles et ouvrages sur les musiques contemporaines (voir la liste détaillée sur le site :
http://umb.u-strasbg.fr/musique). Il est membre depuis 1998 de l’Equipe de recherches :
« Approches contemporaines de la réflexion et de la création artistiques », EA 3402,
Université Marc Bloch, Strasbourg.
Musicien formé dans plusieurs conservatoires dont celui de Strasbourg, il a également suivi
diverses formations liées au jazz et musiques improvisées (notamment avec Michel Portal en
1978 à Romans-sur-Isère). Pierre Michel a donné régulièrement des concerts dans ces
domaines depuis 1978 avec l'Orchestre Régional de Jazz d'Alsace (direction : Bernard
Struber), avec son groupe « Ovale » invitant Markus Stockhausen et Tara Bouman au
Festival « Jazzdor » de Strasbourg en 2002, ou encore dans le cadre du projet « Musiques
contemporaines/musiques improvisées » (novembre 2005, Musée d’Art Moderne, avec Stephan Oliva et Jean-Luc Cappozzo entre autres).