Le colloque de Florence (5 et 6 mai 2011), puis le colloque de Besançon (30 et 31 mai 2013) nous ont conduit
à prendre plus clairement conscience des mutations que traverse l’université : Un paysage universitaire en
cours de recomposition, l’émergence d’universités différenciées, de nouveaux mécanismes de gestion et de
financement, l’impact de la concurrence mondialisée, l’exigence de visibilité et d’attractivité…
L’université se réinvente en plaçant l’innovation au coeur de son évolution, portée par la vague du numérique ; les
modes de vie universitaires eux-mêmes connaissent de profonds changements, liés à l’évolution générale de
la société. Comment l’administration universitaire est-elle à même d’accompagner ces transformations, peutelle
contribuer à renforcer l’attractivité des universités ? Quelles sont les conséquences de ces transformations
sur les métiers, le management et chacune des grandes fonctions qui assurent le fonctionnement quotidien de
l’ensemble des missions universitaires ?
Le colloque de Strasbourg nous offre l’opportunité de mesurer les exigences de l’université innovante,
performante et mondialisée en matière de renouvellement de ses services et de ses infrastructures, en les
envisageant sous l’angle des attentes de ses étudiants et de l’évolution de ses métiers.